Trop souvent l’histoire de la ville est résumée aux grands événements localisés dans des lieux emblématiques : la Grand-Place, le Sablon, le quartier du Parc …. Nous ferons l’effort d’aller au-delà et de chercher les traces du passé aussi dans la petite histoire et dans les coins et les recoins moins spectaculaires... L’histoire dans la ville, rue par rue... En y fânant avec Roel Jacobs... Troisième flânerie : “Chevalier ça fait plus Chic qu’Écuyer”

Trop souvent l’histoire de la ville est résumée aux grands événements localisés dans des lieux emblématiques : la Grand-Place, le Sablon, le quartier du Parc …. Nous ferons l’effort d’aller au-delà et de chercher les traces du passé aussi dans la petite histoire et dans les coins et les recoins moins spectaculaires... L’histoire dans la ville, rue par rue... En y fânant avec Roel Jacobs... Deuxième flânerie : “Le Quartier des Bouchers”

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Trop souvent l’histoire de la ville est résumée aux grands événements localisés dans des lieux emblématiques : la Grand-Place, le Sablon, le quartier du Parc …. Nous ferons l’effort d’aller au-delà et de chercher les traces du passé aussi dans la petite histoire et dans les coins et les recoins moins spectaculaires... L’histoire dans la ville, rue par rue... En y fânant avec Roel Jacobs... Première flânerie : “La Grand Place”

Cycle Bruxelles, Charles Quint et ses victimes non consentantes

4ème volet : BXL, Charles Quint et les Villes

Une certaine lecture de l’histoire présente l’empereur Charles Quint comme un père de l’Europe. Mais s’il mérite ce titre, c’est en dépit de lui. Il a laissé à son fils le pouvoir politique le plus important d’Europe, mais ce n’est pas son mérite, c’est celui de l’or et de l’argent du Nouveau Monde.

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Pour Charles Quint le mécénat est un outil qui permet d’humilier ses adversaires et de célébrer ses victoires. Mais un adversaire est tellement important qu’il n’a pas droit à ce chapitre, parce que la cour impériale essaie de nier son existence. Ce sont les grandes villes...

Cycle Bruxelles, Charles Quint et ses victimes non consentantes

3ème volet : BXL, Charles Quint et les Protestants

Une certaine lecture de l’histoire présente l’empereur Charles Quint comme un père de l’Europe. Mais s’il mérite ce titre, c’est en dépit de lui. Il a laissé à son fils le pouvoir politique le plus important d’Europe, mais ce n’est pas son mérite, c’est celui de l’or et de l’argent du Nouveau Monde.

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En 1547 Charles Quint bat les protestants allemands à Mühlberg. Cette fois-ci il ne célèbre pas sa victoire par une tenture bruxelloise, mais par un tableau de la main du grand Titien. Le peintre représente l’empereur triomphant dressé sur son cheval…

Cycle Bruxelles, Charles Quint et ses victimes non consentantes

2ème volet : BXL, Charles Quint et les Infidèles

Une certaine lecture de l’histoire présente l’empereur Charles Quint comme un père de l’Europe. Mais s’il mérite ce titre, c’est en dépit de lui. Il a laissé à son fils le pouvoir politique le plus important d’Europe, mais ce n’est pas son mérite, c’est celui de l’or et de l’argent du Nouveau Monde.

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Après la conquête de Tunis en 1535 Charles Quint considère qu’il a réussi sa propre croisade au même titre que Godefroid de Bouillon. Il investit cette fois-ci dans la tenture la plus grande et la plus coûteuse que les Bruxellois ont tissé pour lui.

Cycle Bruxelles, Charles Quint et ses victimes non consentantes

1er volet : BXL, Charles Quint et la France

Une certaine lecture de l’histoire présente l’empereur Charles Quint comme un père de l’Europe. Mais s’il mérite ce titre, c’est en dépit de lui. Il a laissé à son fils le pouvoir politique le plus important d’Europe, mais ce n’est pas son mérite, c’est celui de l’or et de l’argent du Nouveau Monde.

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Après la défaite et la capture de François Ier, roi de France, à Pavie en 1525, Charles Quint investit lourdement dans une tenture qu’il fait tisser à Bruxelles pour célébrer cette victoire de ses généraux. Mais la réalité est nettement plus nuancée que la propagande...

Après 1918, Bruxelles devient un foyer principal du surréalisme. Après 1945, la ville est la première au monde à accueillir une exposition universelle. Par la suite, la ville devient la capitale d'une Belgique qui n'existe presque plus et d'une Europe qui n'existe pas encore.

Après quinze ans de cohabitation avec les voisins du nord, Bruxelles devient la capitale d'une monarchie constitutionnelle et industrielle. Bruxelles est à gauche et à l'avant-garde de l'enseignement public et de l'émancipation des femmes.

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C'est le 18ème siècle, le siècle des Lumières, qui prépare les grands bouleversements que connaît Bruxelles au 19ème siècle. Pendant 40 ans, un gouverneur bonhomme y règne et est aussi comique que la gouvernante du début du 17ème ne l'était pas.

Les Pays-Bas méridionaux et catholiques deviennent un Dom-Tom espagnol.. Après la souveraineté éphémère de la « Fabiola » du 17ème siècle, les malheurs de la politique et de la guerre n’empêchent pas Bruxelles de changer...

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Comment Charles Quint devient le souverain de la moitié de l’Europe mais ne passe nulle part autant de temps qu’à Bruxelles...

C’est Roel Jacobs qui anime la soirée…

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Comment les Bruxellois deviennent les tapissiers des édifices civils et religieux les plus prestigieux d’Europe...

C’est Roel Jacobs qui anime la soirée…

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Comment un duc règle tellement mal ses affaires de famille que sa mort provoque une guerre de succession et comment Bruxelles laisse faire et profite de tout ça pour devenir un centre de production très chic et très cher.

C’est Roel Jacobs qui anime la soirée…

...Comment un endroit qui n’est pas destiné à accueillir une ville donne naissance à cette ville inattendue ?

C’est Roel Jacobs qui anime la soirée…

A Bruxelles, on travaille aussi le cuir, le métal… Et aux 17ème et 18ème siècles, de tout nouveaux secteurs se développent, sans lien avec le corporatisme médiéval.

C’est Roel Jacobs qui anime la soirée…

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Après le bombardement de 1695, quand Bruxelles renaît de ces cendres, ce sont les puissants métiers de l’alimentation qui dominent le nouveau paysage de la Grand-Place.

C’est Roel Jacobs qui anime la soirée…

Bruxelles a joué un rôle très important dans l’histoire de l’architecture…

C’est Roel Jacobs qui anime la soirée…

Au 14ème siècle, Bruxelles s’impose sur le marché européen du drap de luxe. Ensuite, la ville se reconvertit dans la tapisserie, le cadeau princier le plus apprécié… et le plus coûteux de l’époque.

C’est Roel Jacobs qui anime la soirée…

Le 600° anniversaire de l'entrée des métiers dans le gouvernement de Bruxelles est l'occasion d'accueillir Roel Jacobs pour une série de quatre conférences sur ces métiers.

C'est aussi le 150° anniversaire du voûtement de la Senne. Pour illustrer ce fait, la série sera introduite par un exposé complémentaire qui évoque le rôle essentiel de la rivière dans l'histoire de la ville et particulièrement dans l'histoire du travail dans la ville.

C’est Roel Jacobs qui anime la soirée…

1421 – Premier chapitre de l’histoire de la démocratie à Bruxelles. C’est à cette époque que les élites économiques ont cassé le monopole du pouvoir des patriciens.

C’est Roel Jacobs qui anime la soirée…

Comment Charles Quint devient le souverain de la moitié de l’Europe mais ne passe nulle part autant de temps qu’à Bruxelles... - En partenariat avec la Brussels Academy

C’est Roel Jacobs qui anime la soirée…

Comment les Bruxellois deviennent les tapissiers des édifices civils et religieux les plus prestigieux d’Europe... - En partenariat avec la Brussels Academy

C’est Roel Jacobs qui anime la soirée…

Comment un duc règle tellement mal ses affaires de famille que sa mort provoque une guerre de succession et comment Bruxelles laisse faire et profite de tout ça pour devenir un centre de production très chic et très cher. - En partenariat avec la Brussels Academy

C’est Roel Jacobs qui anime la soirée…

...Comment un endroit qui n’est pas destiné à accueillir une ville donne naissance à cette ville inattendue ? - En partenariat avec la Brussels Academy

C’est Roel Jacobs qui anime la soirée…

Voulez-vous comprendre le parcours de Pierre Bruegel l’Ancien ? Cherchez la femme ! En 1563 Mayken Verhulst, la veuve de Pieter Coecke, gère l’entreprise de son mari défunt depuis dix ans. Elle devient la belle-mère de Bruegel, qui s’installe à Bruxelles. Quant son beau-fils et sa fille meurent beaucoup trop jeunes, c’est Mayken qui éduque ses deux petits-fils qui deviennent les grands peintres que l’on sait. Et une petite-fille se marie avec David Teniers II. Voilà toute une dynastie qui réussira à plusieurs reprises à faire carrière à Bruxelles.

Après 1918, Bruxelles devient un foyer principal du surréalisme. Après 1945, la ville est la première au monde à accueillir une exposition universelle. Par la suite, la ville devient la capitale d'une Belgique qui n'existe presque plus et d'une Europe qui n'existe pas encore.

Après quinze ans de cohabitation avec les voisins du nord, Bruxelles devient la capitale d'une monarchie constitutionnelle et industrielle. Bruxelles est à gauche et à l'avant-garde de l'enseignement public et de l'émancipation des femmes.

C'est le 18ème siècle, le siècle des Lumières, qui prépare les grands bouleversements que connaît Bruxelles au 19ème siècle. Pendant 40 ans, un gouverneur bonhomme y règne et est aussi comique que la gouvernante du début du 17ème ne l'était pas.

De 1530 à 1555, Marie de Hongrie, la sœur de l’empereur Charles Quint, devient son gouverneur-général à Bruxelles. C’est l’apogée de la carrière de Pieter Coecke, collaborateur de Bernard Van Orley et de dix ans son cadet. Par la suite, Pierre Bruegel travaille dans l’atelier de Coecke et il deviendra son gendre dix ans après son décès…