(photo : Jean-Louis Aisse, René Stock et Jean-Didier vander Vorst à LA SAMARITAINE)
Jean-Louis Aisse se présente comme un homme pluriel, mais un seul fil rouge le conduit au long de la vie : une certaine générosité de l'âme. Avec l'humanité souffrante, il dit préférer les mots aux maux. Cependant tout en lui est lié : le geste lénifiant et la poésie scalpel sont étroitement vécus dans un amalgame harmonieux.
C'est une belle histoire d'homme qui ignore ou nie ses propres vertus.
Mais il est surtout un leveur d'ombres, un amoureux de clarté qu'il prodigue à l'envi. C'est elle qui gère sa vie, même si parfois il la trouve peu prolixe de bienfaits, car il ne sait pas qu'elle est en lui.
Ses mots et ses maux le conduisent vers une sérénité créatrice pour notre plus grand bien. Habillés de ses compositions et de celles de Jean-Didier vander Vorst, accompagnés des friandises musicales de René Stock, ils nous invitent aux voyages, ceux de l'intérieur et ceux du dehors.
"Si je dois, m'en allant,
Ne garder qu'un émoi
Entendrai-je au-dedans
Ce que susurre une voix :
Dis-moi que fait le vent
Quand il ne souffle pas ?
QUI CONTRIBUE A CE SPECTACLE?
PRODUCTION
Aisse-en-ciel productions asbl